Mes Petits Boulots D’Étudiante – 3

J’ai continué mes baby-sitting, et je m’amusais que chacun dans le couple profite d’un moment où je me trouvais seule avec lui (ou elle), pour me caresser furtivement le bras ou les fesses, ou me glisser un bisou dans le cou.
Un jour ou j’ai eu quelques minutes seule avec Geneviève, je lui ai demandé si elle avait recommencé à faire l’amour avec Laurent un peu plus activement.
- Ô oui, ma jolie, j’ai recommencé à m’intéresser à ses fesses et au reste. La première fois, c’était dès son retour de voyage. Il a été surpris que je sois si entreprenante, mais moi j’avais tes caresses en tête qui m’excitaient. Evidemment, il ne s’est pas plaint ! Et il a été un amant formidable. J’ai presque failli lui offrir mon anus pour la première fois. Mais je me suis dit que j’avais envie que ce soit lors d’un trio avec toi.
- Mmm, je vois que tu es devenue plus gourmande ! Alors, on va pouvoir monter notre petit plan ? Mais avant, il faut que je t’avoue une chose que je n’avais pas osé te dire encore.
- Quoi ?
- Voilà, un soir ou tu étais chez ta mère, il s’est passé la même chose avec Laurent qu’entre toi et moi.
Elle m’a regardé en silence, un bon moment. Je voyais que son esprit passait par plusieurs sentiments.
- Bon, je suppose que je ne peux pas vous en vouloir, vu que moi aussi je t’ai baisée. Je comprends mieux aussi pourquoi tu as voulu m’initier. Mais ça je t’en suis reconnaissante. En revanche, je vais un peu lui faire payer, à mon mari. Mais je n’ai pas trop d’idée.
- Moi oui. Voilà comment nous allons faire… et je lui ai décrit un scénario qui lui a bien donné envie. Cela supposait que le bébé soit chez une grand-mère, pour ne pas risquer de le réveiller par nos cris.

Donc, Geneviève avait prévu le coup pour un samedi soir. Le jeudi précédent, venue comme d’habitude, j’avais volontairement oublié quelques affaires de cours dans un coin du salon, un peu cachées derrière le meuble télé.


Le samedi, je savais que Geneviève retiendrait Laurent chez eux, pour un prétexte quelconque, et en préparant un bon repas.
Je me suis pointée à 20 heures, l’air confus de les déranger un samedi soir pour récupérer mes affaires. Je m’étais habillée d’un chemisier léger, avec un mini soutif, et je n’avais pas mis de culotte sous ma jupe assez courte. Comme il commençait à faire froid, j’avais en revanche un grand manteau bien chaud et couvrant qui ne laissait rien paraître.
- Bonjour Laurent, excusez-moi de vous déranger, mais j’ai oublié quelques affaires jeudi dernier.
- Ah bon, entre, où penses-tu les avoir laissées ?
- Probablement dans le salon, je me souviens d’avoir posé ma sacoche près de la télé. Ah, bonjour Geneviève, je suis confuse de vous déranger.
- Mais pas du tout, entre, on va trouver tes affaires.
Nous sommes entrés tous les trois dans le salon. Je suis allée vers la télé, le couple dans mon dos. Et là, je me suis pliée en deux pour aller prendre mes livres derrière le meuble. J’ai entendu un soupir de surprise lorsque Laurent a aperçu mon cul sous ma jupe. Geneviève, qui savait ce que j’allais faire, regardait Laurent et a fait semblant de ne pas comprendre ce qui se passait.
En me relevant, j’ai regardé Laurent droit dans les yeux et lui ai souri.
- Vous alliez passer une soirée tranquille tous les deux ? Mais ça sent bon, vous attendez peut-être des amis ?
- Pas du tout, a répondu Laurent, nous nous apprêtions à passer à table. Veux-tu te joindre à nous si tu n’as pas de projet ce soir ? Geneviève, cela ne t’ennuie pas ?
- Au contraire, cela me fera plaisir, d’autant que j’ai peut-être fait un peu trop à manger pour deux. Camille, tu veux te joindre à nous, en toute dupli… euh, simplicité ?
- Laurent n’a pas relevé le lapsus de sa femme, trop occupé à essayer d’apercevoir un bout de ma poitrine dans mon chemisier.
- Eh bien, a table, c’est prêt à lancé Geneviève. Tiens, Camille, mets-toi au bout de la table, je rajoute un couvert.

Et je me suis installée entre mes deux amants. Laurent à ma gauche, Geneviève à ma droite.
Celle-ci est partie à la cuisine chercher l’entrée.
- J’en ai pour quelques minutes, le temps de sortir les quiches du four. Chéri, tu peux nous servir à boire ?
Dès qu’elle est entrée dans la cuisine, Laurent s’est penché vers moi.
- Camille, quelle cochonne tu fais de venir me montrer ton cul devant ma femme, chez moi ! Si elle t’avait vue !
- J’avais oublié ce détail, ai-je minaudé. J’aime bien me promener cul nu sous une jupe, c’est tout.
- Tu m’as excité, regarde un peu.
Et en effet, je voyais son bâton tendre son pantalon.
- Allons, sois sage.
- Non, caresse-moi un peu, ou laisse-moi te toucher la chatte.
J’ai souri, et j’ai allongé ma main vers lui, sous la table et serré sa queue qui a palpité entre mes doigts.
- Salope, tu me fais bander comme un taureau, cela t’amuse de m’exciter sans que je ne puisse rien faire ! Tu ne perds rien pour attendre !
- Tais-toi, et laisse-moi te caresser. Ouvre ta braguette, que je puisse toucher ton sexe.
Son sexe sorti, je l’ai saisi et branlé lentement. Laurent fermait les yeux de plaisir.
- J’arrive, est-ce que le vin n’est pas bouchonné chéri ?
Laurent s’est ressaisi, a attrapé la bouteille, et nous a servi.
- Non, il est parfait ce vin, comme va l’être cette soirée sympathique.
Nous avons échangé un regard rieur avec Geneviève, pensant toutes les deux : tu ne crois pas si bien dire.
Nous avons mangé l’entrée, et la conversation tournait autour des derniers films que nous avions vus. Dès que Geneviève repartait en cuisine, faisant exprès d’y rester un peu plus longtemps que nécessaire, j’attrapais le membre de Laurent. A un moment, je me suis même penchée et l’ai pris en bouche.
- Ahh, tu es folle, si Geneviève revient.
- Mais j’aime te sucer.
- Ahh, tu es infernale… mais il profitait pleinement de mes mouvements.

Le plat a été servi, puis le fromage.
Je sentais que Laurent était de plus en plus congestionné.
Juste avant le dessert, Geneviève a dit :
- J’avais prévu un petit cadeau pour Laurent, je vais le chercher.
- Ma chérie, comme c’est gentil.
Quand elle a eu passé la porte, j’ai ouvert en grand le pantalon de Laurent, et je l’ai sucé de façon à le raidir à mort. Je savais que j’avais 1 minute pour cela, et je me suis vraiment appliquée.
Quand Geneviève est revenue, elle s’est assise et a dit :
- Laurent, tu veux bien aller chercher le plat avec les desserts dans la cuisine, avant que je ne te donne ton cadeau ?
Laurent est devenu tout pâle. La braguette grande ouverte, la queue dressée sortant bien droit, il n’osait pas se lever.
- Mon chéri, il faut que je fasse une petite préparation pour ton cadeau, allez, lève-toi et va à la cuisine. Pourquoi restes-tu assis bêtement ?
Laurent était cramoisi. Il s’est levé, et sont apparues au niveau de la table ses couilles et sa queue.
- Chérie, je suis désolé, c’est cette petite pute de Camille qui a voulu me branler pendant que tu étais en cuisine.
Geneviève a souri.
- Vraiment ? Tu penses que je vais croire cela ? Camille m’a l’air d’une jeune fille respectable, et tu as dû la menacer de perdre son boulot pour qu’elle te caresse.
- Je t’assure, c’est elle qui a commencé.
- Camille, mon mari te met en cause, qu’as-tu à dire pour ta défense ? Parce que, quand même tu n’es pas tout à fait extérieure à ce qui se passe, a-t-elle dit sévèrement.
- Geneviève, j’avoue que ton mari est très plaisant, et que s’il m’a gentiment draguée ce soir, j’ai tout de suite répondu à sa demande.
- Tu es donc une petite pute ! Puisque c’est ainsi, je vous veux tous les deux nus, immédiatement, et Laurent, tu vas faire le service à poil pour la fin du repas. Et moi je pourrai apprécier ce qui te plait chez notre jeune baby-sitter.
Son ton n’admettait pas de réplique, et bien évidemment je me suis désapée rapidement sous les yeux ébahis de Laurent.

- Toi aussi, Laurent, ai-je dit, ta femme te veux à poil. Après tout, j’ai déjà vu le plus excitant non ?
Il n’en revenait pas. Il s’est mis à poil, et il est parti chercher le dessert dans la cuisine.
Nous avons pouffé de rire en silence avec Geneviève.
Quand il est revenu, il nous a servies.
- Tu es privé de dessert, va dans le canapé t’asseoir, et regarde bien Camille. Et puisqu’elle t’excite, je veux que tu te branles pendant que nous mangeons.
Laurent était trop déstabilisé pour rechigner. Il a obéi, et moi je le regardais en coin se prendre la queue. Reprenant un peu ses esprits, il a dit :
- Geneviève, quand même, tu es incroyable, toi qui es si pudique d’habitude en public, tu me demandes des choses insensées, devant une autre fille qui certes m’a bien excitée, mais quand même, c’est toi que j’aime.
- Pour l’instant, tais-toi, et branle-toi.
Au bout d’un moment, Geneviève m’a regardé d’un œil coquin :
- Toi Camille, puisque mon mari à l’air de te plaire, vas donc le rejoindre, et montre- moi comment tu le suces.
Je l’ai vite pris, et Geneviève pouvait admirer la vue du sexe allant et venant dans ma bouche.
- Elle fait cela mieux que moi non ?
- Mais non chérie, tu es la meilleure, a tenté Laurent.
- Mmm, on va voir, tu vas nous dire cela. Vous avez fini par m’exciter tous les deux.
Elle s’est approchée de nous, s’est agenouillée à côté de moi, et m’a pris le sexe de Laurent des mains.
- Excuse-moi, mais il doit dire qui suce le mieux.
- Je t’en prie.
Et elle a commencé sa fellation, très lentement.
Laurent était partagé entre l’absurde de cette situation pour lui, et les sensations que lui prodiguait sa femme.
- A toi, petite salope qui suce les maris des autres.
Et j’ai pris mon tour. Et ainsi de suite jusqu’à ce que Laurent ne puisse plus se retenir et nous éjacule sur le visage.
- Alors, qui suce le mieux, chéri, a demandé Geneviève ? Ne répond pas, je sais que c’est Camille, j’ai bien vu ton visage quand elle s’active.
- Mais toi aussi tu me donnes du plaisir ! a gémit Laurent qui ne savait plus comment se sortir du pétrin.
- Oui, peut-être. Je suis curieuse d’ailleurs de savoir lequel de vous deux me sucerait le mieux a répondu Geneviève tout en se déshabillant à son tour.
Là, j’ai cru que Laurent allait s’évanouir.
- Mais, mais, chérie, que fais-tu, mais non, mais enfin…
- Tais-toi, agenouille-toi et lèche-moi, puisque tu es un gros lubrique ce soir.
Elle s’est mise sur le canapé, a ouvert grand ses cuisses, laissant apparaître un sexe totalement rasé.
Les yeux de Laurent étaient exorbités.
- Tu vois, je m’étais préparée pour toi ce soir, tu m’avais souvent demandé de me raser. Eh bien profite-en.
Il avait les larmes au bord des yeux, tendresse et humiliation mêlées. Il a pris les cuisses de sa femme, et s’est mis à lui lécher lentement la chatte, s’appliquant à être le meilleur possible.
Puis Geneviève m’a demandé de prendre sa place.
- Chérie, tu n’es pas obligée de faire cela, je t’aime, tu n’as jamais été avec une fille, et là tu te fais violence pour me punir.
- Qu’en sais-tu, peut-être que moi aussi, comme toi, j’ai un jardin secret ?
- Co,co, comment ? Que veux-tu dire.
- Rien tais-toi et regarde Camille me lécher. Toi Camille, je suis sûre que je ne suis pas la première, hein ?
- C’est vrai, ai-je répondu en regardant Laurent dans les yeux avec gentillesse.
A mon tour, j’ai attrapé l’abricot de Geneviève, écartant ses lèvres, suçotant son bouton, bref, lui donnant du plaisir. Elle commençait à se tordre, à mouiller fortement.
Elle nous a alternativement demandé de la sucer, et pendant ce temps, que l’autre lui caresse les seins.
Après qu’elle ait joui, Laurent s’est blotti dans ses bras.
- Tu es magnifique.
- C’est vrai, a-t-elle souri, ne l’oublie plus. Mais maintenant, nous avons une petite camarade à faire jouir. Je dois te dire qu’entre toi et elle, c’est encore elle qui m’a le mieux sucé. Nous avons dégotté une perle dirait-on, non ?
- Euh, elle est vraiment perverse, non ?
- Et alors, il me semble que tu ne t’en es pas plaint avant ce soir ?
- Que dis-tu ?
- Je dis que je sais que vous avez déjà baisé tous les deux.
Il a eu un regard de bête traquée, mais avant qu’il ne réponde, Geneviève a continué :
- Chéri, regarde-moi, et cesse de t’inquiéter. Je sais que vous avez baisé pour une bonne raison, c’est que Camille me l’a dit….
- Camille, tu as dit cela ?
- Oui, elle me l’a dit, quelques temps après que nous ayons fait l’amour toutes les deux, quand tu étais en voyage.
Un grand silence
- Là, il faut que je prenne un remontant ! Mais, mais, alors, vous êtes en train de me faire une comédie depuis tout à l’heure ? Vous m’avez tendu un traquenard ?
- Hummm, nous ? Mais non, regarde comme nous sommes innocentes. D’ailleurs, j’avais prévu de te donner un cadeau, c’est bien que je pensais que nous serions tous les deux non ?
Il était dubitatif, mais il ne savait que répondre.
- Tiens, le voilà. Après tout, tu l’as mérité. Et nous aussi, a-t-elle ajouté malicieusement en me regardant.
Laurent a ouvert le paquet. En voyant son contenu, il a éclaté de rire.
- Vous êtes toutes les deux des cochonnes perverses, ce que vous m’avez fait subir ce soir était digne des plus grandes manipulations. Vous m’avez humilié, et je vois maintenant que tout n’était qu’un jeu. Mais honnêtement, avec un peu de recul, il y a eu des moments où j’étais très excité par cette situation. Nous en reparlerons, mes garces. En attendant, puisque je vois que vous êtes toutes les deux en veine de coquineries, je vais profiter du spectacle pendant que vous utiliserez mon cadeau.

Nous nous sommes regardées avec Geneviève, nous sommes allées câliner Laurent, l’entourant de nos bras et le couvrant de baisers tendres.
- Regarde, mon chéri, Camille et moi t’offrons ce que tu as toujours eu envie de voir : deux filles faire l’amour. Et après, tu auras le droit de nous rejoindre.

Et elle a sorti le cadeau de sa boîte : un double-gode de 70cm de long, d’une jolie couleur bleue. Et nous avons commencé notre spectacle…….


La suite a été délectable, que ce soit les mouvements pour s’interpénétrer avec Geneviève, nos caresses, nos succions. Jusqu’à jouir en même temps.
Bien sûr, Laurent était ravi, et de nous voir sa queue a repris de la vigueur.
Il nous a rejointes, et là aussi sa virilité, qu’il avait à cœur de nous exposer après notre séquence « humiliation », a fait des miracles dans nos chattes.
Quand, pour la première fois, il a enculé Geneviève, l’ambiance était si festive qu’elle a eu du plaisir tout de suite.
Quand il m’a enculé avec le long gode, je n’ai pas tardé à jouir aussi.
Mais ce que j’ai le plus aimé, c’est quand je suis venue m’asseoir à genoux sur sa bouche pour qu’il boive mon nectar pendant que Geneviève à son tour l’enculait avec le gode. Un grand moment de rire, de joie, de sens exacerbés.
Nous avons fini la nuit tous ensemble.
Et cette harmonie entre nous a duré plusieurs mois, alternant les périodes où ils se retrouvaient tous les deux pour leur vie de couple qui s’embellissait de jour en jour, et celles où nous partagions nos corps, découvrant de nouvelles combinaisons, de nouveaux plaisirs ensemble.

Puis Laurent a eu une promotion en Bretagne, qu’il ne pouvait refuser.
Nous nous sommes quittés pleins de tristesse mais aussi remplis de la joie des moments partagés.

Mais moi, j’avais perdu mon job, et mes amants.
Mais je suis pleine de ressources, vous le verrez bientôt.

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